Pour expliquer les commentaires psychotiques de la note du 19 juin dernier, il faut savoir qu’à Onap, nous sommes plusieurs à avoir accès à l’administration du blog, donc à pouvoir bidouiller partout, y compris bien sûr agir directement sur les commentaires postés.
Voici en images, étape par étape, ce qu’il est advenu de chaque commentaire sur la note en question. N’hésitez pas à relire dans l’intégralité à chaque fois, c’est évolutif.

Au départ, donc, voici. Ou comment une petite faute de frappe de ma part a tourné au cauchemar guerrier (c’est en tout petit juste pour que ce soit plus long à lire, c’est toujours bon pour les stats, des visiteurs qui restent deux heures sur le site).




Alors là, piqué au vif, j’interviens…




Filak n’en reste pas là passkeu c’est un revanchard.




Bon, je tiens à avoir le dernier mot, discrètement…




Mais Filak, encore plus discrètement, s’acharne sur moi parce qu’il est un vilain nazi des commentaires.





Voilà. C’est pas une note très passionnante, mais qui a au moins le mérite de sauver les apparences, méfiez-vous les enfants, l’essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu’avec le cœur (waw, des fois je m’épate, je sors ça comme ça, pou-pouf).

Quelques liens pour rappeler l'actualité des auteurs :

Raphael B dessine avec et sur un scénario de L'esbrouffe pour la nouvelle livraison de L'officieuse Collection. À lire en ligne et à commander sur le site.

"Une histoire pleine de sang, de larmes et de bourres-pifs, en deux tomes !"

À noter également, l'ouverture du blog de Samos, dessinateur dans Psikopat et Science et vie Junior. Dessins d'actualités, planches comiques : une adresse à rsser.

Et allez zou, pendant que j'y suis, je rappelle aussi que CäÄt expose à Bruxelles à partir du 27 juin. Pour cliquer, descendez à la galerie Plin Tub 13 rue des Ursulines.

Enfin, pour contredire une fois de plus le titre de cette note, Unter a fait les couleurs de Roudoudou Blues, dessiné par Marion Laurent sur un scénario d'Arnaud Le Roux, et qui sort ce mois-ci chez Futuro. Du bel ouvrage, je peux témoigner.

Bon, c'est tout pour aujourd'hui.

Un site tout nouveau, tout beau, c'est celui de Gregor et Remedium.

Sobrement intitulé La Cité des esclaves, il met à votre disposition une bonne partie des oeuvres de ces deux auteurs ambitieux.

Difficile de résumer un projet artistique que ses auteurs refusent eux-même de décrire. Jugez sur pièce !